Arthur resta figé sur la scène, le regard défini sur le violon suspendu qui venait de vibrer dans le silence du théâtre. Il n’y avait individu, nul mouvement, zéro brise assez grande pour construire un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer solitaire, tels que s’il répondait à bien une présence https://barryv602mty5.liberty-blog.com/profile