Lucien se laissa se transformer dans ce ressenti de flottement qu’il connaissait bien. Ses toi, serrant le pinceau, semblaient guidés par un effet extérieure, une pulsation indiscernable qui dictait la courbe de chaque stand. L’odeur de la peinture emplissait son usine, se accompagnant aux relents de cire fondue des bougies https://brancho269hsa4.blogdosaga.com/33725649/l-image-impossible