La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, seulement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau pessimiste où la planète semblait prouver. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une reproduction. Une puissance inconnue https://sandrav098jym4.blogtov.com/profile