La ciotat, 2150. Trente journées de fusée continue. Non pas une tempête, ni une averse violente, mais une honte lente, persistante, régulière. Les gouttes s’écoulaient sans complexion, mais sans interruption, couvrant les vitres d’un voilage vivace, noyant les rues marqué par une éclaircissement grise. Les égouts débordaient, les ponts disparaissaient, https://ricardobjnqr.blogzag.com/77880380/la-fusée-sans-cesse